vendredi 24 février 2012

TWO DAYS VIDÉO #2- Lycée 2012

Les TWO DAYS VIDÉO #2 battent leur plein de projections, et aujourd'hui vous pouvez encore assister à des séances au CDI et en salle détente. Hier, jeudi 23 février, plus d'une centaine d'élèves a assisté aux présentations de la sélection vidéos d'art proposée par Nathalie Amiot, du centre d'art.

mercredi 15 février 2012

TWO DAYS VIDÉO #4- Auxerre 2012

Two Days Vidéo #4 s'est tenu le week-end dernier (10 et 11 fevrier) au théâtre d'Auxerre vous avez pu y voir le programme suivant et au Silex, assister à une performance de Tania Mouraud. Plusieurs classes du lycée accompagnées de leurs profs ont fait le trajet!


En colaboration avec le Centre d'art de l'Yonne,  Nathalie Amiot nous proposera au lycée :  "TWO DAY VIDÉO #2",  le jeudi 23 février, toute la journée en plusieurs endroits: salle ciné dans le batI, au cdi dans la petite salle, salle détente.

mardi 27 septembre 2011

Claire-Lise Petitjean expose à Orléans

Voici des nouvelles de Claire-Lise qui expose actuellement des oeuvres à Orléans, à L'identité remarquable, 4 rue du bourdon blanc. (en cliquant sur l'adresse vous irez directement sur le blog de la galerie)

mercredi 25 mai 2011

Jeudi 12 mai. Pot de fin de tournage.


Après la journée de projection  dans la salle ciné et au cdi du lycée, voilà que la résidence s'achevait...
C'était une bonne journée et le pot très sympathique. 
On tenait à remercier en retard (certes), toutes les personnes qui de près ou de loin se sont impliquées dans le projet, nos élèves qui se sont prêtés au jeu, les collègues: profs, les agents, les AE, les personnels administratifs ... (oh punaise, on se croirait à Cannes!), les proviseurs et le centre d'arts de l'Yonne (qui organise des expos cet été), V. Phelippot
et bien sûr Claire-Lise... Evidemment nous sommes pressés de voir le film !

Jeudi 12 mai. A propos de la projection

Vue de la salle de cinéma du lycée, dans l'après-midi du 12 mai.

dimanche 15 mai 2011

Dimanche 15 Mai. Lien vers l'Yonne Républicaine

Suite à la journée de diffusion du film, durant laquelle Claire-Lise a répondu à Mathilde Jarlier, journaliste de L'Yonne Républicaine, un article est paru vendredi matin.  Cliquez ici pour aller sur la page.

vendredi 13 mai 2011

un coin de voile...

Zut et rezut, je suis la victime d'une technologie aléatoire...
Hier après-midi, en rentrant du lycée, j'avais écrit un message très documenté et assez bien tourné, je crois, dans lequel je racontais en partie le pot offert pour la fin de la Résidence de Claire-Lise et qui clôturait une journée au cours de laquelle elle avait projeté, en boucle, quelques minutes de montage de ce qui sera son film. Je la comparais, très immodestement de ma part à Orson Welles et à François Truffaut, non pour des raisons cinéphiliques ou artistiques mais parce que le premier, pour finir un film – THE TRAGEDY OF OTHELLO : THE MOOR OF VENICE en 1952 – dût interrompre deux fois son tournage et jouer dans deux films dont les cachets furent réinjectés dans le sien ; le second, quant à lui, accepta de faire l'acteur pour Steven Spielberg – dans CLOSE ENCOUNTERS OF THE THIRD KIND en 1977 – mais sans pour autant arrêter de tourner ses films à lui, ce qui compliqua le tournage. Claire-Lise, en effet, nous avait expliqué qu'elle avait encore beaucoup de travail devant elle et que, pour financer la fin de son oeuvre, elle devrait sûrement aussi s'arrêter pour travailler et continuer encore.
Et puis aujourd'hui blogger était en carafe et mon texte avait disparu. Mais ce matin, il y avait un article consacré à Claire-Lise dans l'Yonne républicaine et dans le Libé, une photo sur deux pages consacrée à l'installation d'Anish Kapoor au Grand Palais, mais ce n'est pas de ça dont je voulais surtout vous parler.
Hier, avant de trinquer au CDI sans formalisme, j'ai pris le temps de voir une partie de ce montage provisoire, et j'en ai retenu une image qui semble tout d'abord fixe avant, lentement de s'animer en partie, rythmée par le débit de Claire-Lise lisant, en voix-off, un texte. A l'écran, des élèves marchant au ralenti. Au ralenti !
Seul le cinéma, seul l'art peut se permettre ainsi de ralentir des individus sans que cela ne se résume à une posture adolescente. Et ce passage imprévu de l'immobilisme au mouvement m'a rappelé cette séquence merveilleuse de LA JETÉE de Chris Marker dans laquelle, justement, le mouvement fait irruption, bouleversant le héros et le spectateur qui, jusque-là, vivaient une narration se déroulant image par image.
En nous donnant à voir, ainsi, un bref aperçu d'un regard tout autre sur le lycée et les êtres qui le traversent, Claire-Lise a soulevé un coin de voile...